« Et les ânes ne lisent pas… »

L’interrogation résonne comme un impératif dans un contexte de crise présumée de la lecture, et comme une utopie : faire aimer lire, n’est-ce pas, de tout temps, le rêve du professeur de français et une angoisse ? Et si ce n’était plus possible ? La génération digitale et hyperconnectée aurait-elle jeté le livre aux oubliettes ?