David Cronenberg, La Mouche :
le devenir-autre

Pour ce cinéaste fasciné par les corps, les enveloppes, le passage d’un état à l’autre, la monstruosité ne résulte pas d’une tare ou d’un accident, mais d’un germe que nous secrétons et qu’il regarde grandir et susciter un certain désir, aux limites de l’humain.
Par Éric Hoppenot, docteur, professeur agrégé de lettres à l’Inspé Paris Sorbonne-Université et au Collège international de philosophie
Au-delà de son film mythique La Mouche, sorti en 1986, les personnages de David Cronenberg sont toujours susceptibles de métamorphoses, exposés à des contaminations qui vont opérer en eux et sur eux de profonds bouleversements physiques et psychiques. […]

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L'École des Lettres - Revue pédagogique, littéraire et culturelle
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