Enseigner autrement les humanités classiques

L’intérêt pour l’Antiquité gréco-romaine n’a jamais été aussi fort en France. En attestent les nombreux voyages scolaires organisés par les établissements secondaires et le développement des clubs d’apprentissage du grec ancien. La vitalité des publications en traduction des auteurs antiques constitue un autre signe de cet intérêt pour l’Antiquité. On compte au total 560 000 élèves latinistes sur les trois niveaux du collège. Les besoins en professeurs de lettres classiques sont réels pour les années à venir. Néanmoins, cette évolution historique est marquée par un paradoxe : l’intérêt intellectuel pour l’Antiquité classique va de pair avec une désaffection, dans les lycées, pour des options de langues anciennes jugées peu rentables ou difficiles d’accès en raison de multiples freins administratifs…
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