Gisèle Bienne : « L’Étrange solitude de Manfred Richter »

On connaît la célèbre formule de Nizan, posée au seuil d’« Aden Arabie » : « J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. » Hélène Courtois, l’héroïne du dernier roman de Gisèle Bienne, pourrait la faire sienne. Elle aime les livres et vit dans une maison qui s’y apparente : « Une maison c’est un livre dont on n’épuise jamais la lecture… », déclare-t-elle. Elle répète à plusieurs reprises qu’elle est vieille à cet âge…
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