Les « Illustres Classiques », naissance d’une collection aux éditions Rue de Sèvres

Louisa May Alcott « Les Quatre Filles du docteur March » traduit et abrégé par Malika Ferdjoukh, illustré par Thomas Gilbert, coll. « Illustres Classiques », Rue de Sèvres, 2019Emily Brontë, « Les Hauts de Hurle-Vent », traduit par Frédéric Delebecque abrégé par Boris Moissard illustré par Charlotte Gastaut, coll. « Illustres Classiques », Rue de Sèvres, 2019Les bibliophiles les appellent encore les « livres à figures », ces ouvrages illustrés de planches gravées hors texte dont l’histoire a partie liée avec l’origine même de l’imprimerie. En effet, dès la fin du XVe siècle, on illustre ainsi des textes religieux, mais aussi de la littérature profane, des classiques – ceux de l’époque : Homère, Virgile, Ésope…
L’image, une gravure sur bois, sert alors à instruire ceux qui ne savent pas lire… et les autres. Au XVIe, la taille-douce supplante la gravure sur bois ; au XVIIIe, les illustrateurs se nomment Bouchardon, Oudry ou Fragonard. Le XIXe aura aussi ses maîtres : Tony Johannot et Gustave Doré, dont les dessins ornent, notamment, les fameux ouvrages des éditions Hetzel.
C’est dans cette lignée de livres d’artistes que s’inscrit aujourd’hui la collection « Illustres Classiques ». Elle puise ses textes dans le vivier des « Classiques » – abrégés ou non – de l’école des loisirs, et ses créateurs d’images dans la gibecière de la directrice artistique Charlotte Moundlic.
Deux titres inaugurent en novembre la série : Les Quatre Filles du docteur March, de Louisa May Alcott, illustré par Thomas Gilbert, et Les Hauts de Hurle-Vent, d’Emily Brontë, mis en images par Charlotte Gastaut.

Charlotte Gastaut, on ne peut pas ne pas la connaître : elle a illustré plus d’une soixantaine d’ouvrages, essentiellement des contes ou des récits mythologiques ; Godiva, Fendi, Diptyque, L’Occitane – une foule de grandes marques ont fait appel à elle pour concevoir les motifs et couleurs de leurs foulards, boîtes de chocolats, flacons de parfum, robes, manteaux, affiches… Elle a même créé la sienne, Charlotte Gastaut Collections. Son amitié avec Charlotte Moundlic est une longue histoire, et c’est avec une grande complicité que les deux Charlotte ont accepté de présenter les « Illustres Classiques ».

Entretien avec Charlotte Moundlic
et Charlotte Gastaut

Charlotte Gastaut et Charlotte Moundlic
Charlotte Gastaut et Charlotte Moundlic

Des textes tirés de la collection « Classiques »

L’École des lettres.D’où vous est venue l’idée d’une collection de classiques illustrés ?
Charlotte Moundlic. Cette collection part d’une idée instinctive, spontanée. J’ai découvert les textes abrégés de la collection « Classiques » de l’école des loisirs par l’intermédiaire de ma fille qui était alors au collège et voulait lire Frankenstein. Elle a adoré le livre. À l’époque, je n’étais pas encore dans le groupe l’école des loisirs. J’étais directrice artistique en littérature de jeunesse et je travaillais principalement avec des illustrateurs. Et puis je suis arrivée aux éditions Rue de Sèvres pour m’occuper de bande dessinée.
Louisa May Alcott « Les Quatre Filles du docteur March » traduit et abrégé par Malika Ferdjoukh, coll. « Classiques », l'école des loisirsC’est en feuilletant par hasard le catalogue de la collection « Classiques » que j’ai pris conscience de son incroyable richesse. Je n’avais pas mesuré le nombre de titres qui y figurent. J’ai vu aussi que de grandes plumes, celles de Malika Ferdjoukh, Boris Moissard, Sophie Chérer, Xavier-Laurent Petit, etc., s’étaient attaquées au travail d’abrègement et, le cas échéant, de traduction de ces textes. De fil en aiguille, l’idée a germé de les proposer à des illustrateurs. J’ai commencé à en parler autour de moi ; manifestement, elle séduisait tout le monde. La réaction des illustrateurs contactés a achevé de me convaincre : non seulement je n’ai pas eu une seule réponse négative, mais ils se sont montrés enthousiastes !

« Abréger un texte, ce n’est pas le décharner,
mais ouvrir l’esprit de ses lecteurs »

L’École des lettres.Le concept de « classiques abrégés » a-t-il été bien accueilli ?
Charlotte Moundlic. Le fait que les textes soient abrégés ne me posait personnellement aucun problème. J’avais senti, en lisant Frankenstein, un vrai respect du texte original. C’est tellement bien de pouvoir rendre accessibles ces récits magnifiques. Il serait dommage de se priver de grandes œuvres réputées difficiles sous prétexte de les conserver dans leur version intégrale.
Abréger un texte, ce n’est pas le décharner, mais ouvrir l’esprit de ses lecteurs. De nos jours, hormis les spécialistes, qui lit intégralement les cinq livres de Rabelais, les Essais de Montaigne ou les Mémoires d’outre-tombe, de Chateaubriand1 ?
Charlotte Gastaut. – Pour illustrer Les Hauts de Hurle-Vent, j’ai relu en parallèle la version abrégée de la collection « Classiques » et la version intégrale. Il se passe tellement de choses dans ce roman qu’on a l’impression qu’une version abrégée ne pourra pas tout dire. Or, s’il y a de très longs passages somptueux dans la version intégrale, ils ne manquent pas à la version abrégée parce que, justement, celle-ci restitue toute la fougue qui habite le livre. Il ne s’agit pas d’une réécriture, mais de simples coupes. Le rythme et le style sont là. Bref, je me suis régalée.
Charlotte Moundlic. C’est effectivement un travail d’orfèvre, assez proche de celui qui consiste à traduire un roman, ou à l’adapter en bande dessinée. Une traduction ou une adaptation, qu’on le veuille ou non, impose des choix, un point de vue. Il s’agit de donner un éclairage de l’œuvre, mais en restant au cœur du fil narratif, sans jamais le perdre de vue. Et ce fil narratif garde toute sa superbe.
Mayalen Goust, qui a choisi d’illustrer Thérèse Raquin, hésitait à utiliser la version abrégée. Je lui ai conseillé de la lire. Elle l’a fait et m’a dit : « C’est vrai, on ne perd rien. » Ceux qui crient au sacrilège dès lors que l’on parle d’abrègement ou d’adaptation n’ont souvent jamais eu la curiosité d’en lire.
Lorsque l’on adapte un roman en bande dessinée, certains parents ont peur que leurs enfants ne se détournent du texte original. C’est l’inverse qui se produit : une fois qu’ils ont lu la BD, ils s’emparent du roman, ce qui se vérifie dans les chiffres de ventes. Jamais la bande dessinée n’a pris de lecteurs au roman, bien au contraire ! C’est, encore une fois, le moyen d’amener le plus de lecteurs possible à un texte.

« Une nouvelle liberté »

L’École des lettres.Quel a été le principe proposé aux illustrateurs ?
Charlotte Moundlic. « Vous choisissez le texte que vous voulez dans le catalogue de la collection “Classiques” et vous avez carte blanche pour réaliser les dix images que vous inspire ce texte. » L’idée est très simple, mais elle a emballé tout le monde. Il faut que tout le monde s’amuse. La collection « Illustres Classiques » est basée, avant tout, sur le plaisir. Ce qui est drôle, c’est qu’aucun des illustrateurs n’a choisi le roman auquel j’avais pensé d’emblée pour lui.
Pour Charlotte Gastaut, j’avais pensé, par exemple, au Bonheur des Dames, d’Émile Zola, qui me semblait correspondre davantage aux habitudes de travail que nous avions ensemble. Et elle a choisi Les Hauts de Hurle-Vent ! La carte blanche offre à un illustrateur la possibilité de sortir de sa zone de confort. D’ailleurs, tu avais la trouille !
Emily Brontë, « Les Hauts de Hurle-Vent », traduit par Frédéric Delebecque abrégé par Boris Moissard illustré par Charlotte Gastaut, coll. « Illustres Classiques », Rue de Sèvres, 2019

Carte blanche pour dix images

Charlotte Gastaut. – Carrément ! Mais j’étais goulue, j’avais une telle envie de faire ce livre que, moi qui suis toujours en retard, je n’ai jamais pris autant d’avance. J’avais besoin d’une respiration, et j’ai senti dans cette proposition une nouvelle liberté : dix images où je fais ce que je veux, dans un roman qui n’est pas destiné à la petite enfance. Cela, personne ne me l’avait jamais proposé.
Charlotte Moundlic. Pour laisser encore plus de liberté à l’illustrateur et qu’il ne se sente pas contraint de réaliser une illustration qui tombe juste en regard du texte, j’ai proposé que les images soient légendées par une petite citation en italique. Bien sûr, ces images avec leurs citations ne doivent pas être trop éloignées du passage qu’elles illustrent, mais elles ne viennent pas nécessairement en face. L’essentiel, c’est qu’elles rythment régulièrement le volume.
Ce principe de l’illustration légendée est aussi un clin d’œil aux livres de notre enfance, dans lesquels on adorait retrouver les petites citations sous les images.

« Les Hauts de Hurle-Vent »

L’École des lettres.Charlotte Gastaut, pourquoi avoir choisi « Les Hauts de Hurle-Vent » ?
Charlotte Gastaut. – Parce que j’avais envie de liberté, justement. J’avais envie de romantisme, de douleur, de vent, j’avais envie de m’éloigner de l’univers que j’illustre habituellement. J’avais oublié à quel point ce livre est dur, violent, noir, beau. Or, j’avais besoin, à ce moment-là de ma vie, d’une histoire dure et violente, d’un drame romantique. Et ce livre m’a offert l’occasion de l’exprimer. C’est un merveilleux cadeau. Et puis, la contrainte était enthousiasmante : je devais condenser toute la force, toute la violence des Hauts de Hurle-Vent en dix images seulement. Et aussi montrer la solitude des personnages car, bien qu’ils soient tous liés, les personnages du livre sont seuls. Même quand ils sont deux ou trois, ils sont seuls. Et ça, je voulais le montrer dans les images.
Charlotte Moundlic. En effet, leurs regards ne se croisent jamais, ils se tournent souvent le dos. Ils sont ensemble, mais seuls. Seul l’espace les réunit.
L’École des lettres. – Il y a aussi, dans le roman comme dans les images, une omniprésence de la nature…
Charlotte Gastaut. – Elle est partout. On entend souffler le vent – c’est, d’ailleurs, ce qui rend fous les personnages.
Charlotte Moundlic. Elle est un vrai personnage du livre.

Emily Brontë, « Les Hauts de Hurle-Vent », traduit par Frédéric Delebecque abrégé par Boris Moissard illustré par Charlotte Gastaut, coll. « Illustres Classiques », Rue de Sèvres, 2019
Emily Brontë, « Les Hauts de Hurle-Vent », traduit par Frédéric Delebecque abrégé par Boris Moissard, illustré par Charlotte Gastaut, coll. « Illustres Classiques », page 167 © Rue de Sèvres, 2019

Illustrer : une affaire de fulgurance

L’École des lettres. – Comment avez-vous procédé pour illustrer le livre ?
Charlotte Gastaut. – J’ai commencé par la couverture. En temps normal, je déteste ça, or les services marketing demandent toujours à avoir la couverture longtemps avant la sortie du livre. Pour Les Hauts de Hurle-Vent, ce n’était pas le cas. Seulement, j’avais l’image en tête, et elle était si présente qu’un matin je me suis installée devant une feuille raisin, et j’ai commencé à la travailler au crayon et à la plume, ce que je n’avais plus fait depuis des années. J’ai cherché les droites, les rondes, les parallèles, les angles droits, les perpendiculaires… un pur bonheur ! C’était cette image que je voulais, cette image qu’il me fallait pour lancer la suite. Cette suite, je l’ai faite dans l’urgence, la pagaille, car je ne travaille que comme ça… Sauf cette image, sans doute parce que je la portais en moi depuis longtemps. Et j’aime cette couverture, alors que, d’habitude, je les déteste !
L’École des lettres.Quel angle avez-vous choisi pour les illustrations intérieures ? Avez-vous essayé de rester dans la tonalité de la couverture ?
Charlotte Gastaut. – Oui, et j’ai tout le temps eu peur de m’en éloigner. Mais je crois que les dix images se tiennent, qu’elles sont très structurées. Le plus difficile a été de savoir si le passage que je choisissais d’illustrer était porteur d’une émotion suffisamment évocatrice du livre : le moment où Catherine court dans la lande était-il vraiment important ? Agissait-il avec la même force sur un autre lecteur ?
Charlotte Moundlic. C’est la règle du jeu dans une « carte blanche » : faire entendre la voix de l’illustrateur à qui l’on a confié le texte, un auteur d’images répond à un auteur de textes et fait écho à ce qu’il a ressenti en le lisant. Là où l’exercice est à la fois attirant et cruel, c’est que chaque livre de la collection « Illustres Classiques » doit comporter dix images, pas plus, et ce, quelle que soit la longueur du texte… Ce que je trouve magique, c’est que, placées les unes à côté des autres, ces dix images racontent une histoire qui, si elle reste dans une logique propre à l’illustrateur, offre toujours une vision pertinente du roman.
L’École des lettres.Ce livre cruel et tourmenté a un dénouement sinon heureux, du moins apaisé. Aviez-vous cette fin à l’esprit au moment de composer les images ?
Charlotte Gastaut. – Je ne construis pas les premières images en pensant à la dernière. Je fais mes croquis au moment où je lis.
Charlotte Moundlic. Comme beaucoup d’illustrateurs, Charlotte se nourrit de mots qu’elle garde en elle, qui l’habitent entièrement, et dont un jour jaillissent des images. Ces images sont le fruit d’une maturation et d’une réflexion très construites, mais à son insu ! On rencontre souvent ces fulgurances chez les artistes.
Charlotte Gastaut. – Je n’élabore pas cette réflexion au moment où je réalise les illustrations ; en tout cas, pas avec des mots. Il ne s’agit pas d’un cheminement intellectuel. Au fil des images, la tempête qui traverse Les Hauts de Hurle-Vent s’apaise, y compris dans les couleurs. Vers la fin, elles sont moins sombres, on voit pousser des fleurs, on voit du vert, simplement parce qu’on a besoin que tout s’apaise.
Charlotte Moundlic. Mais tu ne verbalises pas cette construction, tu n’en as pas conscience, c’est un état intérieur.
Charlotte Gastaut. – Oui, en fait, ce sont mes mains qui ont la parole !

« C’est le livre qui impose la technique à employer »

L’École des lettres.Comment avez-vous travaillé techniquement ?
Charlotte Gastaut. – Tout est parti du dessin à l’encre et au crayon de la couverture, car, pour les « Illustres Classiques », je voulais vraiment être « classique ». Mais je me suis trouvée confrontée à un problème technique : je n’arrivais pas, avec ces outils traditionnels, à faire mes ombres. Or j’avais besoin de pénombre, de filets de lumière qui viennent accrocher l’œil. J’ai donc refait toutes mes images intérieures, toutes les couleurs, à la palette graphique.
Pour avoir cette matière, ce frisson, j’ai utilisé une gravure que j’avais réalisée : je l’ai superposée aux couleurs pour d’abord les étouffer et, ensuite, pouvoir faire ressortir les lumières. Au final, seule la couverture a été faite à l’encre et au crayon.
Charlotte Moundlic.Charlotte a la particularité de maîtriser plusieurs outils: la palette graphique, mais aussi la peinture, le crayon… À chaque projet, elle réfléchit à la technique qu’elle va adopter, laquelle sera au service de la narration et du souffle qu’elle veut donner à ses images.
Charlotte Gastaut. – En effet, ce n’est pas moi, mais le livre qui impose la technique à employer. Si j’avais voulu réaliser Les Hauts de Hurle-Vent à l’encre, comme j’en avais l’intention initialement, je n’aurais pas réussi. À l’inverse, un autre ouvrage, que je travaillais en même temps et que je comptais faire à l’ordinateur, a été impossible à réaliser à la palette graphique : je l’ai donc illustré à l’encre. Les choses ne se disent pas de la même manière selon la technique que l’on emploie.

Emily Brontë, « Les Hauts de Hurle-Vent »
Emily Brontë, « Les Hauts de Hurle-Vent », traduit par Frédéric Delebecque abrégé par Boris Moissard, illustré par Charlotte Gastaut, coll. « Illustres Classiques », page 117 © Rue de Sèvres, 2019

« Offrir dix tableaux à une œuvre littéraire »

L’École des lettres.Ce qui est sûr, c’est que ce livre illustré va inciter de nouveaux lecteurs à lire le roman.
Charlotte Gastaut. – Je l’espère. De plus, l’illustration prend une place nouvelle dans la vie des gens. On pose sur elle un regard plus bienveillant qu’il y a encore quelques années. Longtemps, elle a été réservée aux enfants ; aujourd’hui, elle est en train d’atteindre les adultes, d’être considérée comme un art nouveau.
L’École des lettres. – Vos « Hauts de Hurle-Vent » s’approchent en effet du livre d’artiste.
Charlotte Gastaut. – Ah bon ? Vous croyez ?
Charlotte Moundlic. Mais absolument ! C’est en tout cas notre souhait : offrir dix tableaux à une œuvre littéraire.
Charlotte Gastaut. – Le plus difficile, c’est d’attendre avant de voir ce qu’ont fait les autres illustrateurs. J’ai hâte de découvrir Les Quatre Filles du docteur March par Thomas Gilbert. J’adore son travail. Et puis nous étions nombreux, nous illustrateurs, à avoir envie de retrouver Charlotte, mais nous n’avions pas encore trouvé le moyen. Là, nous l’avons !
Charlotte Moundlic. C’est comme une petite fête de famille – et avec une famille qu’on s’est choisie, c’est encore mieux !
 
Emily Brontë, « Les Hauts de Hurle-Vent », traduit par Frédéric Delebecque abrégé par Boris Moissard illustré par Charlotte Gastaut, coll. « Illustres Classiques », Rue de Sèvres, 2019
 
• Emily Brontë, « Les Hauts de Hurle-Vent », traduit par Frédéric Delebecque abrégé par Boris Moissard, illustré par Charlotte Gastaut, coll. « Illustres Classiques », Rue de Sèvres, 2019, 238 p.
 
 
 
 
Louisa May Alcott « Les Quatre Filles du docteur March » traduit et abrégé par Malika Ferdjoukh, illustré par Thomas Gilbert, coll. « Illustres Classiques », Rue de Sèvres, 2019
 
• Louisa May Alcott « Les Quatre Filles du docteur March » traduit et abrégé par Malika Ferdjoukh, illustré par Thomas Gilbert, coll. « Illustres Classiques », Rue de Sèvres, 2019, 208 p.
 
 
 
 
« Les Quatre Filles du docteur March », de Louisa May Alcott, dans la collection « Illustres Classiques », par Stéphane Labbe.
Les classiques : une bibliothèque idéale ? par Marie-Hélène Sabard.
Les « Classiques » de l’école des loisirs font peau neuve.
• Tous les titres de la collection « Classiques » de l’école des loisirs.
• Dans l’École des lettres, deux séquences pédagogiques sur « Les Quatre Filles du docteur March » et sur « Les Hauts de Hurle-Vent », par Stéphane Labbe.

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