Les fratries dans le roman –
Louisa May Alcott, Malika Ferdjoukh
« Les Quatre Filles du pasteur March », de Louisa May Alcott,
un roman pour le collège
par Stéphane Labbe
Les Quatre Filles du docteur March fait partie des œuvres dont les Instructions officielles préconisent la lecture à l’école élémentaire (cycle 3).
Ce roman, rebaptisé Les Quatre Filles du pasteur March par Malika Ferdjoukh, traductrice de l’édition parue dans la collection « Classiques abrégés » (L’école des loisirs, 2010), fait désormais partie du patrimoine littéraire mondial et peut, à ce titre, intéresser aussi les collégiens.
Il propose un récit complexe qui peut très bien servir, en fin de sixième, à approfondir l’art de conter. Mais il intéressera également des classes de quatrième dans la mesure où il ne prend pleinement son sens que dans le contexte des luttes idéologiques du XIXe siècle – féminisme, anti-esclavagisme, importance du protestantisme... Il peut aussi faire partie de ces « romans d’enfance ou d’adolescence » que les Instructions officielles invitent à explorer en troisième.
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Le mythe des quatre filles du pasteur March
par Stéphane Labbe
Bibliographie et filmographie.
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« Quatre Sœurs » – « Énid », de Malika Ferdjoukh
par Stéphane Labbe
Enid, premier tome de la tétralogie des Quatre sœurs, de Malika Ferdjoukh, est un ouvrage qu’on n’hésitera pas à proposer en sixième car il représente un excellent exemple de ces contes et récits merveilleux que le programme invite à étudier. La qualité de l’écriture, l’invention verbale et la fantaisie des personnages en font une œuvre attachante dont l’exploitation pédagogique ne peut que se révéler fructueuse.
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Quatre sœurs à Hollywood
par Malika Ferdjoukh
« Bien sûr, ces sœurs littéraires – Enid, Hortense, Bettina, Geneviève, Charlie – sont nées, d’abord et avant tout, sous les auspices de filiations littéraires manifestes – sœurs Bennet, sœurs March, sœurs Brontë – oui. Mais aussi sous ceux de pas mal de marmailles russes, de Tolstoï à Tchekhov. Sans compter quelques branches japonaises, du côté de Tanizaki – car les Verdelaine, ces sœurs de la côte française, ont subi, comme toutes les familles et c’est heureux, des influences internationales. Mais il faut compter également avec l’irrigation de l’écriture par les images de ma cinémathèque personnelle. »
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Entretien avec Malika Ferdjoukh
par Stéphane Labbe
La fascination pour les fratries. Pourquoi une nouvelle traduction de Louisa May Alcott ? Les jeux d’échos entre Les Quatre fille du docteur March et les Quatre Sœurs. L’inspiration littéraire et cinématographique..
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« Enid » en bande dessinée
par Marie Pérouse-Battello
C’est Cati Baur qui a donné aux sœurs Verdelaine leurs visages, et gageons qu’après un bref délai d’acclimatation (nécessaire à tout lecteur qui voit soudain s’incarner des personnages qui peuplent depuis longtemps son paysage intérieur), les admirateurs de la saga adopteront avec bonheur ce bel album.
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La fabrique du roman
par Sophie Chérer
Dialogue avec Malika Ferdjoukh sur la genèse des Quatre Sœurs.
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« Aggie change de vie », de Malika Ferdjoukh
par Marie Pérouse-Battello
En quelque quatre-vingt-dix pages menées tambour battant, Aggie change de vie (l’École des loisirs, « Neuf », 2009) raconte comment une jeune tire-laine sans le sou se trouve, par la grâce d’une ressemblance physique et avec l’aide d’un détective peu scrupuleux, adoptée par une riche famille d’aristocrates qui croit retrouver en elle une enfant disparue. Le récit s’inscrit assez directement, par son format, sa thématique et son atmosphère, dans la lignée de Minuit-Cinq (2002), du même auteur.
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Entretiens vidéos avec Malika Ferjoukh à propos des Quatre Sœurs et de Aggie change de vie
Tous les romans de Malika Ferdjoukh
Étude de la langue – l’accord de l’adjectif
par Yves Lucas
Les règles d’orthographe sont un point d’ancrage indispensable pour la maîtrise des accords à l’écrit. Ainsi, pour les variations de l’adjectif en genre et en nombre, on part du constat que le féminin se forme en ajoutant un -e et le pluriel un -s. L’observation tournerait court si le code écrit était l’envers exact du code oral. Mais ce n’est pas le cas.
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Louisa May Alcott, Malika Ferdjoukh

« Les Quatre Filles du pasteur March », de Louisa May Alcott,
un roman pour le collège
par Stéphane Labbe
Les Quatre Filles du docteur March fait partie des œuvres dont les Instructions officielles préconisent la lecture à l’école élémentaire (cycle 3). Ce roman, rebaptisé Les Quatre Filles du pasteur March par Malika Ferdjoukh, traductrice de l’édition parue dans la collection « Classiques abrégés » (L’école des loisirs, 2010), fait désormais partie du patrimoine littéraire mondial et peut, à ce titre, intéresser aussi les collégiens. Il propose un récit complexe qui peut très bien servir, en fin de sixième, à approfondir l’art de conter. Mais il intéressera également des classes de quatrième dans la mesure où il ne prend pleinement son sens que dans le contexte des luttes idéologiques du XIXe siècle – féminisme, anti-esclavagisme, importance du protestantisme... Il peut aussi faire partie de ces « romans d’enfance ou d’adolescence » que les Instructions officielles invitent à explorer en troisième.
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Le mythe des quatre filles du pasteur March
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« Quatre Sœurs » – « Énid », de Malika Ferdjoukh
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Enid, premier tome de la tétralogie des Quatre sœurs, de Malika Ferdjoukh, est un ouvrage qu’on n’hésitera pas à proposer en sixième car il représente un excellent exemple de ces contes et récits merveilleux que le programme invite à étudier. La qualité de l’écriture, l’invention verbale et la fantaisie des personnages en font une œuvre attachante dont l’exploitation pédagogique ne peut que se révéler fructueuse.
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Quatre sœurs à Hollywood
par Malika Ferdjoukh
« Bien sûr, ces sœurs littéraires – Enid, Hortense, Bettina, Geneviève, Charlie – sont nées, d’abord et avant tout, sous les auspices de filiations littéraires manifestes – sœurs Bennet, sœurs March, sœurs Brontë – oui. Mais aussi sous ceux de pas mal de marmailles russes, de Tolstoï à Tchekhov. Sans compter quelques branches japonaises, du côté de Tanizaki – car les Verdelaine, ces sœurs de la côte française, ont subi, comme toutes les familles et c’est heureux, des influences internationales. Mais il faut compter également avec l’irrigation de l’écriture par les images de ma cinémathèque personnelle. »
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par Stéphane Labbe
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C’est Cati Baur qui a donné aux sœurs Verdelaine leurs visages, et gageons qu’après un bref délai d’acclimatation (nécessaire à tout lecteur qui voit soudain s’incarner des personnages qui peuplent depuis longtemps son paysage intérieur), les admirateurs de la saga adopteront avec bonheur ce bel album.
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La fabrique du roman
par Sophie Chérer
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En quelque quatre-vingt-dix pages menées tambour battant, Aggie change de vie (l’École des loisirs, « Neuf », 2009) raconte comment une jeune tire-laine sans le sou se trouve, par la grâce d’une ressemblance physique et avec l’aide d’un détective peu scrupuleux, adoptée par une riche famille d’aristocrates qui croit retrouver en elle une enfant disparue. Le récit s’inscrit assez directement, par son format, sa thématique et son atmosphère, dans la lignée de Minuit-Cinq (2002), du même auteur.
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Tous les romans de Malika Ferdjoukh

Étude de la langue – l’accord de l’adjectif
par Yves Lucas
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