Boris Cyrulnik : « Sauve-toi, la vie t’appelle »

Si ce livre produit un effet salutaire, s’il mérite de prendre place parmi les grandes œuvres sorties d’une mémoire meurtrie – celle de l’expérience des camps ou celle de la guerre, par exemple –, c’est qu’il est double, comme l’est l’auteur, deux fois né d’abord (les premières pages l’expliquent), amené ensuite à jouer le jeu social de la réussite tranquille pour cacher des blessures, non indicibles, mais impossibles à relater…
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