Bérénice, de Jean Racine,
au Vieux-Colombier : deux en un

Les mouvements de conscience et élans du cœur sont les seuls mais puissants leviers d’action de cette peinture de la passion amoureuse. Dans cette mise en scène de Guy Cassiers, les personnages chuchotent à l’oreille des spectateurs, Titus et Antiochus ne font qu’un et la reine de Judée est une exilée souffrant de déracinement.
Par Phlippe Leclercq, critique