
Mini-série documentaire sur l’imaginaire de dix-sept adolescents interrogés dans le CDI de leur collège, Rêves présente des perceptions assez sombres de l’avenir et une certaine maturité dans l’analyse du poids des réseaux sociaux.
Par Philippe Leclercq, critique

Récompensé par le prix Jean-Vigo 2023, le documentaire de Dominique Marchais tente de percevoir, au-delà de la surface des rivières, ce qui affecte la faune, la flore et le niveau de l’eau. Il alerte : dans cinquante ans, elles seront à sec.
Par Philippe Leclercq, critique

Six marionnettistes virtuoses présentent une réadaptation d’une pièce de ce célèbre auteur géorgien, à la Scala à Paris. Une histoire d’amour en plein effondrement du bloc soviétique, avec des décors peints et des mouvements d’une grâce infinie.
Par Philippe Leclercq, critique

Frappé par le deuil de sa mère, un jeune garçon se retrouve dans un manoir habité par des créatures qui le guident ou le menacent. Le maître de l’animation japonaise a interrompu sa retraite pour réaliser cet opus inspiré de sa propre enfance. Grille d’analyse du film.
Par Philippe Leclercq

De la rencontre de deux déshérités au cœur d’Helsinki, sur fond de guerre en Ukraine, le cinéaste finlandais cherche le rire dans l’absurde et le burlesque.
Par Philippe Leclercq, critique

De jeunes patients du centre Claude-Bernard et leurs familles ont accepté la présence de la caméra. La documentariste célèbre l’infinie patience de chacun et de soignants admirables.
Philippe Leclercq

Menace d’incendie dans tous les sens : le réalisateur allemand joue au puzzle avec un groupe de jeunes en pause estivale dans une maison en bord de mer et de forêt.
Par Philippe Leclercq, critique

Le réalisateur américain Daniel Goldhaber porte à l’écran l’essai du militant écologiste suédois Andreas Malm, Comment saboter un pipeline. Ni brûlot ni agit-prop, sa fiction inspirée reprend les codes du film de braquage pour désigner de nouveaux bandits et de nouveaux Robin des bois.
Par Phlippe Leclercq, critique

De retour dans un collège d’Anatolie pris dans l’hiver, un prof désabusé se retrouve au cœur de la cruauté de l’ordinaire. Le cinéaste turc poursuit son œuvre morale sur un temps long qui s’éprouve et glace.
Par Philippe Leclercq, critique

Lecture burlesque et psychanalytique de Clément Hervieu-Léger, qui renouvelle pour la Comédie-Française le paysage amoureux inventé par l’auteur des Fausses confidences. Il le situe en son temps, au XVIIIe, mais lui fait prendre l’air de la campagne. Rafraîchissant.
Par Philippe Leclercq, critique