« Ce qui nourrit mon œuvre : réfléchir à des possibles »

Bpocalypse d’Ariel Holzl est paru peu avant le premier confinement. Un sacré clin d’œil pour ce roman « post-apo » où des lycéens survivent dans une ville-monde, Concordia, repliée en autarcie après une catastrophe. Ils doivent notamment cohabiter avec une caste de dirigeants décidée à exterminer de nouveaux arrivants mutants.
Propos reccueillis par Ingrid Merckx
Institut national supérieur du professorat et de l’éducation (Inspé), centre Molitor à Paris, dans un petit amphithéâtre bien chauffé, aux fenêtres ouvertes (Covid oblige) et à la porte fermée (travaux dans le couloir…), la veille de l’ouverture du Salon du livre et de la presse jeunesse à Montreuil. Ariel Holzl, la trentaine, est venu rencontrer des enseignants stagiaires en master deuxième année, pilotés par un duo de formateurs constitué d’Antony Soron (collaborateur de L’École des lettres) et d’Éric Hoppenot. […]

Pour lire la suite, téléchargez l’article ci-dessous ou abonnez-vous !
Niveau(x) d'études :
Tous niveaux
Fichier(s) lié(s) :
Abonnez-vous ou connectez-vous pour accéder aux fichiers.
Page(s) :8