Le comique dans le théâtre d’avant-garde : de Jarry à Novarina

La révolution comique de Jarry dans « Ubu roi » tient essentiellement à l’invention d’une esthétique carnavalesque singulière, et en particulier d’une forme originale, la farce mirlitonesque. Jarry invente une forme, la farce mirlitonesque, qui, parce que sa fonction n’est pas simplement de divertir, détonne par rapport au comique convenu du vaudeville et du Boulevard. Lectures analytiques : – Roger Vitrac : « Victor ou les enfants au pouvoir », (acte II, scène 4) ; – Eugène Ionesco : « La Leçon » ; « Rhinocéros » – Valère Novarina : une lutte bouffonne des langues (« L’Atelier volant ») ; une parodie du journal télévisé (« La Scène »).
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