Marivaux. De la comédie romanesque à la comédie bourgeoise : variations sur le marivaudage

Ce fut longtemps un lieu commun de la critique que d’affirmer que toutes les pièces de Marivaux se ressemblaient. Deux pièces en trois actes, deux pièces «italiennes», deux pièces dans lesquelles reviennent les mêmes noms de personnages (Silvia, Arlequin, Lisette), distantes de presque sept ans (avril 1723, janvier 1730) – «La Double Inconstance» et «Le Jeu de l’amour et du hasard» –, divergent pourtant assez sensiblement par leur intrigue, par leur atmosphère, par leur signification sociologique même, pour qu’on soit amené à poser la question : à quoi tient, fondamentalement, la différence d’inspiration qui les sépare ?
Rubrique :
Siècle :
Ecrivain :
Magazine spécial : Marivaux
Niveau(x) d'études :
première
Programmes :
objet d’étude - théâtre
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