Philippe Leclercq

Philippe Leclercq

L’Avare chez les Helvètes

Transplantée en Suisse par l’actrice et metteuse en scène Lilo Baur, l’avarice frappe des êtres qui font métier d’argent. Son théâtre physique s’appuie sur une puissante mécanique des corps et joue, à la Comédie-Française, des effets de contraste entre les attitudes des personnages et les lieux où ils se trouvent.

Par Philippe Leclercq, professeur de lettres et critique

À la rencontre du Petit Prince

Six cents documents et objets sont présentés au musée des Arts décoratifs pour marcher sur les traces du Petit Prince. Cet enfant poète, amoureux d’une rose, né de l’imagination de Saint-Exupéry, aviateur explorateur défricheur de territoires vierges, qui se sentait inadapté dans le monde des adultes mais parvient encore à l’enchanter.

Par Philippe Leclercq

Les Sans-dents, de Pascal Rabaté

Pascal Rabaté radicalise son cinéma avec cette pochade quart-mondiste où de joyeux cabossés tentent de se réinventer à rebours des règles marchandes du monde libéral. Ce film quasi muet brandit la pantomime et le grotesque comme arme de contestation sociale.

Par Philippe Leclercq, professeur de lettres et critique

D’où rayonne la nuit (Molière-Lully, impromptu musical) : l’éclairante collaboration des deux Baptiste

Le comédien Yoann Gasiorowski se lance dans une première mise en scène avec un genre peu connu qui consiste en une improvisation sur un thème donné. Des saynètes succèdent aux morceaux de musique joués à la basse de violon et au théorbe, ou chantés comme des airs baroques et des chants populaires italiens du XVIIe siècle.

Par Philippe Leclercq, critique