Accueil » Séquences pédagogiques

Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour :
jeu de mensonges et vérité

Chez Alfred de Musset, les situations amoureuses sont complexes, badinage et tragédie cohabitent. En jeune romantique, il fait la part belle à la jeunesse et renvoie au spectateur a réflexion sur le sérieux des sentiments et les émotions contraires.
Par Haude de Roux, professeure de lettres (académie de Paris)

George Sand,
de l’adolescente à l’écrivaine

Bel exemple d’autobiographie, Histoire de ma vie, de George Sand, intègre l’objet d’étude « Se raconter, se représenter » en troisième. Analyse sur les livres III et V qui évoquent l’adolescence tourmentée de l’autrice et ses premiers succès d’écrivaine.
Par Laura Labbe, professeur de lettres (académie de Rennes)

L’Homme aux cercles bleus, de Fred Vargas :
carnets d’enquête

Les lieux de la ville sont le théâtre du polar par excellence. L’homme aux cercles bleus, de Fred Vargas, se présente autant comme une enquête sur un criminel maniaque que comme une introspection dans le ventre de Paris et s’intègre dans le questionnement complémentaire « La ville, lieu de tous les possibles ».
Par Antony Soron, maître de conférences HDR, Formateur agrégé de lettres, Inspé Sorbonne-Université

Les Trois Mousquetaires :
intrigues et alliances

Des personnages mythiques, une devise légendaire : Les Trois Mousquetaires, d’Alexandre Dumas, paru en juillet 1844, est une œuvre intemporelle dont nous sommes les héritiers. Classique du genre « cape et d’épée », adapté plus d’une centaine de fois au cinéma, c'est un roman historique dans lequel l’auteur brode un récit romanesque éclatant.
Par Shirley Conte, professeure de lettres (académie de Nice)

Le comte de Monte-Cristo :
un vengeur rédempteur

Classique du milieu du XIXe  siècle, Le Comte de Monte-Cristo fascine toujours autant, notamment par son caractère intemporel et universel. Dumas décrit une terrible injustice et noue sa fresque historique teintée de merveilleux sur un personnage torturé par le regret de sa vie perdue et la flamme de la vengeance.
Par Shirley Conte, professeure de lettres (académie de Nice)

Hypocrisie, comédie et dévotion
dans Le Tartuffe de Molière

Cette pièce offre ce que la comédie peut atteindre de plus édifiant en matière de satire de l’hypocrite. Dans le cadre du thème « Comédie et mensonge » au programme des lycées, elle met en évidence le lien entre jeu et masque, double jeu et satire.
Par Pascal Caglar, professeur de lettres

Le Fantôme de l’Opéra,
de Gaston Leroux : labyrinthe et manipulation

Pour accompagner le dossier « Qu’est-ce que le roman populaire ? », une analyse de cette œuvre qui permet une lecture psychanalytique et des rapprochements avec le roman gothique, le conte fantastique et le « gaslighting ». À compléter avec le quiz dédié.
Par Stéphane Labbe, professeur de lettres (académie de Rennes)

Le Fantôme de l’Opéra,
de Gaston Leroux :
du roman populaire à l’oeuvre culte

Feuilleton, roman, puis comédie musicale, film, bande dessinée, manga : ce spectre sans nez ne cesse de plaire, avec son parler de tous les jours, son univers en dédale, son goût pour le macabre et l’humour.
Par Haude de Roux, professeure de lettres (académie de Paris)

Fahrenheit 451, de Ray Bradbury :
« un film où les livres seraient les héros »

François Truffaut ne concevait d’adaptation valable qu’écrite par des gens de cinéma. Illustration avec ce roman de science-fiction de Ray Bradbury que les lycéens peuvent investir d’une vision personnelle pour en tirer une parole authentique et collaborative.
Par Milly La Delfa, professeure de lettres (lycée Sévigné, Paris)