Au sommaire : le métier d’éditeur BD, le cinéma d’Hitchcock,
« Au Bonheur des Dames », les représentations du loup,
l’histoire de la littérature de jeunesse à l’école

BANDE DESSINÉE

La BD ados et adultes aux éditions Rue de Sèvres, entretien avec Nadia Gibert,
par l’École des lettres
Zep rend hommage à son « regard infaillible », Régis Loisel reprend la même expression dans la dédicace d’Un putain de salopard, en y ajoutant des « qualités humaines et professionnelles », Alex Alice évoque volontiers leur complicité, la bande à Lupin (Abtey, Deschodt, Galopin, Gaultier) dédie l’album à son «éditrice bien-aimée… la première à soutenir le projet Lupin», bref, tous les auteurs de bandes dessinées soulignent le talent, l’expertise et la bienveillance de celle qui est aussi l’éditrice historique de Jirô Taniguchi en France.
La responsable de la bande dessinée ados et adultes chez Rue de Sèvres règne sur son domaine avec une grande discrétion. Et c’est avec beaucoup de simplicité, de clarté et un enthousiasme toujours intact qu’elle a accepté de dévoiler pour L’École des lettres quelques-uns des dessous de son métier.
Thèmes explorés : • Qu’est-ce qu’une « bonne » histoire. • Synopsis et scénario.  • L’étape enthousiasmante du storyboard. • Dessinateurs et coloristes. • Bande dessinée et roman graphique. • Les contraintes narratives. • Les adaptations de romans.  • Les séries. • Construire un catalogue. • Lire et enseigner la BD . • Des auteurs artistes porteurs d’un univers…
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« La Bobine d’Alfred », de Malika Ferdjoukh & Nicolas Pitz : une exploration du cinéma d’Alfred Hitchcock,
par Marie-Hélène Giannoni
Lire au collège et au lycée La Bobine d’Alfred, de Malika Ferdjoukh et Nicolas Pitz, c’est un billet direct pour le Hollywood des années 1960 avec, en prime, le « making-of » de la création hitchcockienne. Tout comme le roman dont elle est tirée, on pourra exploiter cette bande dessinée pour illustrer l’entrée : « Se raconter, se représenter », proposée dans les programmes de français en classe de troisième. La sélection 2017 « Littérature pour les collégiens » recommande d’ailleurs à ce titre la lecture du roman en en précisant l’enjeu littéraire : « Percevoir l’effort de saisie de soi et de recherche de la vérité, s’interroger sur les raisons et les effets de la composition du récit ou du portrait de soi », et en ajoutant qu’il s’inscrit également dans le cadre d’une « initiation à la culture du septième art ».

« La Bobine d’Alfred », de Malika Ferdjoukh, Médium poche, 2013
« La Bobine d’Alfred », de Malika Ferdjoukh, roman, Médium poche, 2013

L’ouvrage peut aussi trouver sa place en quatrième dans l’étude de la thématique : « Informer, s’informer, déformer ? ». Il offre, en effet, l’occasion d’évoquer l’influence de la presse, représentée par le sinistre paparazzi Verloc Brenner, et de la médiatisation.
Au lycée, les nouveaux programmes entrent en vigueur à la rentrée 2019. On pourra proposer La Bobine d’Alfred en lecture complémentaire à l’objet d’étude intitulé « La littérature d’idées et la presse du XIXe au XXIe siècle », en évoquant la réception de l’œuvre cinématographique d’Alfred Hitchcock, passé du statut de « bon faiseur de films » à celui de maître incontesté du septième art. On examinera le poids de la critique dans cette évolution, et notamment celui de la « politique des auteurs » menée par les Cahiers du cinéma dans les années 1950-1960.
La BD de Malika Ferdjoukh et Nicolas Pitz trouvera également sa place comme prolongement à l’objet d’étude : « Le roman et le récit du XVIIIe siècle au XXIe siècle » en permettant de s’interroger sur la notion de vraisemblance, sur la construction du récit et sur la question du héros.
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LITTÉRATURE DE JEUNESSE

Comment la littérature de jeunesse est entrée à l’école. Récit d’un acteur militant
par Christian Poslaniec
2019 – voici trente ans que la littérature de jeunesse a fait son entrée à l’école, un anniversaire que L’École des lettres a choisi de célébrer avec Christian Poslaniec, témoin direct et acteur clé de ce qui fut une véritable révolution dans le monde de l’éducation. Après avoir milité à l’ICEM (le mouvement Freinet), en 1983 il est associé par Jacques Gonnet à la création du CLEMI (Centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information), dont il devient successivement directeur adjoint puis conseiller spécial, avant d’intégrer en tant que chercheur l’INRP, l’Institut national de recherche pédagogique dont est issu l’actuel Institut français de l’éducation.
Déjà, à cette époque, la nécessaire introduction de la littérature de jeunesse dans les classes est pour lui une évidence. Ayant ses entrées au ministère de l’Éducation nationale, il y évoque la chose à plusieurs reprises : on lui rétorque alors qu’il est impensable de laisser pénétrer dans le système scolaire des livres publiés par des éditeurs privés – question qui ne se pose pas, semble-t-il, pour les manuels scolaires ! L’affaire semble mal engagée. Pourtant,  dans la société, un peu partout, des médiateurs militants sont à l’œuvre, et l’idée fait son chemin…
Voici comment.
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La littérature de jeunesse dans l’École des lettres.

HISTOIRE ET MYTHE

« Le Loup, une histoire culturelle », de Michel Pastoureau. Un allié précieux pour étudier les représentations du loup en classe,
par Yves Lucas
Que reste-t-il aujourd’hui de l’histoire des rapports entre l’homme et le loup? Qu’est-ce que notre langue a gardé de cette cohabitation forcée ? On en trouve des traces dans la toponymie (Loupiac, Louvigny…) ; dans l’anthroponymie (Leleu, Louvel, Le Blay, en Bretagne ; Lupelli, en Italie ; Lopez, en Espagne et au Portugal ; De Wolf, en Belgique) ; dans diverses expressions tirées de contes, légendes ou traditions de nos régions (une faim de loup, se jeter dans la gueule du loup, à pas de loup)…
Le plus étonnant est ce qui se rapporte au comportement du loup: là, le retournement d’image est total. Autant, autrefois, on parlait de la bête comme du « grand méchant loup », autant, aujourd’hui, cette même bête est devenue un compagnon de jeu attachant (« mon petit loup »), un animal qui souffre d’être mal aimé. C’est ce long parcours à travers les mentalités des siècles passés que l’historien Michel Pastoureau retrace dans son dernier livre : Le Loup, une histoire culturelle.
Le loup dans les albums, contes et récits pour enfants.
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LITTÉRATURE CLASSIQUE

« Au Bonheur des Dames », d’Émile Zola. Séquence détaillée pour la classe de quatrième,
par Geneviève Dubois-Kervran
Dans le cadre du thème intitulé « La ville : lieu de tous les possibles ? », les Instructions officielles proposent, dans les ressources d’accompagnement du programme de français pour la classe de quatrième, certains parcours faisant référence au Bonheur des Dames, d’Émile Zola : « Denise découvre Paris et les grands magasins  », à partir de l’incipit du roman, et, en histoire des arts, « Le Paris d’Haussmann ».
La lecture de l’œuvre est conseillée dans l’édition abrégée parue à l’école des loisirs dans la collection « Classiques ». Cette édition vient de bénéficier d’une refonte : une nouvelle couverture, un nouveau prix et une présentation qui gagne en lisibilité. C’est l’occasion de se pencher, avec les élèves, sur ce roman dont Zola voulait faire le « poème de l’activité moderne ».
– Séance 1. L’incipit, une entrée en matière « in medias res » ;
– Séance 2. Émile Zola, un auteur dans son temps ;
– Séance 3. L’entretien d’embauche ;
– Séance 4. La trame fictionnelle ;
– Séance 5. Être vendeur ou vendeuse à l’époque du roman ;
– Séance 6. « Un peuple de clientes » ;
– Séance 7. L’utopie zolienne.
• De très nombreux articles complémentaires consacrés à Zola et au naturalisme sont disponibles sur www.ecoledeslettres.fr : découvrir les séquences et dossiers.
• Tous les titres de la collection « Classiques ».
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ARTICLES ET DOSSIERS COMPLÉMENTAIRES EN LIGNE

LANGUE ET LITTÉRATURE

Dossier : Conseils pratiques à l’attention des professeurs stagiaires de lettres pour leur  première semaine de classe en 6e/5e, 4e/3e, 2de/1re : trois séquences zéro,
par Antony Soron.

I. Séquence « zéro » pour des classes de sixième et de cinquième. Deux personnages illustres à leur entrée au collège : La Fontaine et Molière, à partir d’extraits des deux biographies pour la jeunesse que leur a consacré Sylvie Dodeller.
II. Séquence « zéro » pour des classes de quatrième et de troisième. Le cours de français : une situation romanesque ? À partir de deux romans de Marie-Aude Murail : 3000 façons de dire je t’aime et Papa et maman sont dans un bateau qui évoquent l’un et l’autre des situations de classe et la perception des enseignants par les élèves.
III. Séquence « zéro » pour des classes de seconde et de première. Le cours de français : un espace de révélation ? À partir de deux extraits de romans : L’Attrape-rêves, de Xavier-Laurent Petit, et Plus haut que les oiseaux, d’Éric Pessan, qui mettent en perspective de façon très différente la manière dont des personnages adolescents appréhendent le cours de français et ce que peut leur apporter la littérature.

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Conseils pour la pré-rentréePremières semaines de classe : Conseils de rentrée aux professeurs stagiaires de lettres, par Antony Soron.
Ce dossier très concret, fondé sur l’observation de nombreuses classes de collège et de lycée, rend possible divers mode de lecture en fonction des besoins spécifiques des professeurs stagiaires de lettres. Néanmoins, son parcours exhaustif reste utile quel que soit le niveau des classes que chacun peut avoir en responsabilité de la sixième à la première.
Par exemple, tout ce qui est exprimé à propos de l’abord d’une classe de sixième ne devient pas caduque si l’on n’a par exemple que des classes du cycle 4, voire de lycée. D’où le fait que la partie qui concerne la sixième soit plus longue que les suivantes. Elle pose en effet une série d’éléments qui restent très opérants pour toutes les autres classes.
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"Renommer", de Sophie Chérer, l'école des loisirs, 2016• Voir également : Un exemple de séquence « zéro » pour mobiliser vos classes de français (collège et lycée), par Antony Soron.
La semaine de rentrée ne sera jamais une semaine comme les autres. Premier temps de rencontre avec les élèves, elle s’apparente à la fois à une semaine de tâtonnement et de test. D’où, tout particulièrement en ce qui concerne les professeurs stagiaires, la nécessité de ne pas démarrer immédiatement sur une « grosse » séquence à l’échelle de trois semaines. Aussi apparaît-il préférable de prévoir, en incluant la première prise en charge de la classe, trois ou quatre heures de mise en route, dotées d’un double enjeu afin de : – jauger sa propre manière de mener une séance, – et corrélativement se faire une première idée des élèves que l’on va suivre tout au long de l’année.
L’idée étant, au terme de la « séquence zéro », d’établir un double diagnostic, d’une part en envisageant des éléments à rectifier dans sa pratique pédagogique et d’autre part en faisant un état des lieux des besoins spécifiques de chaque classe en responsabilité.
Lire la suite.

Jean-Pierre Claris de Florian, "Fables", "Classiques abrégés•  Dossier : Du collège au lycée : progression annuelle en 2de et 1re, cinq séquences conçues pour l’enseignement de spécialité « Humanités, littérature et philosophie » (I),
par Stéphane Labbe.

Dans bien des descriptifs de baccalauréat, les œuvres classiques avaient tendance à céder le pas aux œuvres contemporaines. L’instauration d’un programme national met en avant la dimension première des œuvres patrimoniales et obligera donc les élèves de premières à se confronter à des œuvres indiscutablement littéraires. Mais osons dire les choses comme elles le sont : combien d’élèves vont réellement lire La Princesse de Clèves ou Le Rouge et le Noir ? Tout notre défi est donc là, il s’agit désormais pour nous, professeur de lettres, à l’heure où les résumés et analyses diverses font florès sur Internet, de convaincre notre public de réellement lire les œuvres que nous leur soumettons.
Cette série d’articles propose une progression annuelle :
Séances initiales. –  Qu’est-ce que la rhétorique ? Quels rapports entretient-elle avec la littérature ? • Séquence 1. – Les pouvoirs de la parole. Groupement de textes :  L’orateur et son public. • Séquence 2. – Les pouvoirs de la parole. Œuvre intégrale : Tristan et Iseut de Béroul. • Séquence 3. – Les pouvoirs de la parole. Les représentations du monde. Œuvre intégrale : La Tempête, de Shakespeare. • Séquence 4. – Les représentations du monde. Groupement de texte : Du récit de voyage au roman d’aventures : les nouveaux mondes vus par les occidentaux du XVIe siècle au XVIIIe siècle. • Séquence 5. – Les représentations du monde. Œuvre intégrale : Les Fables de Florian.
S’abonner (mise en ligne le 20 août).

PRATIQUE DU THÉÂTRE

« Dramaturgies de l’atelier-théâtre 2 : Au bonheur des petites formes », de Chantal Dulibine et Bernard Grosjean,« Dramaturgies de l’atelier-théâtre 2 : Au bonheur des petites formes », de Chantal Dulibine et Bernard Grosjean,
par Karine Veillas.

Cet ouvrage est la seconde collaboration de Chantal Dulibine, enseignante et formatrice d’enseignants, et Bernard Grosjean, metteur en scène-intervenant et enseignant à l’Institut d’études théâtrales de Paris III.
Dans leur premier opus, Coups de théâtre en classe entière au collège et au lycée, les deux auteurs avaient déjà exploré les diverses façons d’aborder le texte et le jeu théâtral en contexte scolaire. Ils proposaient, sous forme de fiches pédagogiques concrètes, une réflexion sur les consignes pour lire, jouer, écrire et regarder du théâtre, sur les moyens d’étendre le répertoire travaillé au domaine contemporain, et sur les obstacles qui risquaient de se présenter aux enseignants et artistes-intervenants souhaitant mettre en place ce type d’atelier.
Pour s’adapter au format de plus en plus réduit des ateliers théâtre, ils proposent cette fois-ci un ouvrage consacré aux petites formes, c’est-à-dire à des spectacles composés de plusieurs textes, le plus souvent dramatiques, qui se frottent les uns aux autres pour donner un sens inédit.
Lire la suite.

ÉTUDIER LE CINÉMA EN CLASSE

« Les Glaneurs et la Glaneuse », d'Agnès VardaCollège au cinéma : « Les Glaneurs et la Glaneuse », d’Agnès Varda,
par Philippe Leclercq.

Seule désormais, et avec nous, l’œuvre d’Agnès Varda, disparue le 29 mars 2019, poursuit son chemin. Et, en particulier, l’un de ses documentaires qui la résume le mieux, qui nous « parle » le plus, et qui nous rappelle l’importance d’une économie raisonnable à l’heure des grands défis écologiques : Les Glaneurs et la Glaneuse.
Nous en suivrons la chronologie stricte, conçue par l’auteure qui ne dissocie jamais le hasard du nécessaire, le savoir du plaisir, l’humour de l’humain. Et, parce qu’on apprend toujours mieux en demeurant ouvert et réceptif, Varda s’autorise toutes les entrées, et les sorties de route narrative propices à nourrir son travail (à noter que le minutage de notre étude a été effectué à partir de l’édition Scérén/Ciné-Tamaris du DVD du film d’une durée totale de 1 h 18’ 35).
On retiendra encore que Les Glaneurs et la Glaneuse fait l’objet cette année d’une réinscription au programme de « Collège au cinéma » (tous niveaux confondus).
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Steven Spielberg, "La Liste de Schindler"Cinéma et histoire : « La Liste de Schindler », de Steven Spielberg,
par Alexandre Lafon.

Voilà vingt-cinq ans sortait sur les écrans la Liste de Schindler (Schindler’s List) du réalisateur américain Steven Spielberg, auteur de films à succès comme la saga Indiana Jones ou Les Dents de la mer. Après deux incursions comique (Sugarland Express, 1979) et dramatique (L’Empire du soleil, 1987) du côté de la Seconde Guerre mondiale, le cinéaste américain prend à bras le corps la Shoah comme sujet d’un film de fiction.
Son objectif ? Transmettre l’histoire du génocide des juifs d’Europe à travers l’histoire d’un nazi devenu Juste parmi les Nations pour avoir sauvé plus de mille juifs de la mort. Mais peut-on donner à voir l’indicible de l’extermination génocidaire à travers une œuvre de fiction ? Le travail de mémoire de l’artiste, forcément subjectif, suffit-il à dépasser le devoir d’histoire ? Des débats polémiques ont entouré la sortie du film, aujourd’hui considéré comme une incontournable réussite du réalisateur et du cinéma d’histoire.
La question du témoignage est inscrite dans les apprentissages en classe de français et d’histoire et pose la question de la mémoire des faits historiques et de leur transmission. Trois objectifs peuvent présider à l’usage pédagogique de cette œuvre longue (3 h), en les couplant : un travail d’histoire ; un travail transversal autour de la question du témoignage ; un travail sur la mise en fiction d’un événement historique.
S’abonner (mise en ligne le 25 août).

EXPÉRIMENTATIONS

Comment renouveler le conseil de classe et stimuler la motivation scolaire ?
par Delphine Roux.

Le conseil de classe ! Redouté ou attendu, trimestriel ou semestriel, distributeur de félicitations ou de mises en garde… cette réunion de tous les professeurs d’une classe, du chef d’établissement, des représentants des élèves et des parents est organisée sous cette forme depuis 1985. Parfois, s’y agrègent d’autres personnels tels que les PSYEN, le médecin scolaire, les infirmiers scolaires.
L’orientation de cet article est subjectivement en faveur d’une transformation du conseil de classe afin de ne plus en faire un tribunal mais bien un lieu de conscientisation des apprentissages et donc de stimulation de la motivation scolaire.
Lire la suite.

CONCOURS

Concours des dix mots 2019-2020 :
Dis-moi dix mots au fil de l’eau
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Les mots qui, de près ou de loin, désignent l’eau sont d’une infinie richesse. Dix sont proposés ici, comme autant d’invitations au voyage, à la réflexion, au plaisir, à la poésie. Réalisez avec votre classe une œuvre artistique et littéraire à partir de ces dix mots.
 
 
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L’ÉCOLE DES LETTRES 2019-2020

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