Pascal Caglar

Pascal Caglar

L’art du clown

Comment le clown est devenu un personnage de théâtre et un membre à part entière des sociétés modernes. Fred Robbe, directeur de la compagnie Théâtre du Faune, qui joue actuellement sa pièce 2023 avec La Véritable Histoire de d’Artagnan, aide à faire le point.
Par Pascal Caglar, professeur de lettres

La Chute des anges, une divine surprise

La metteuse en scène Raphaëlle Boitel nomme « cirque chorégraphié théâtral » ce genre qui croise plusieurs disciplines des arts vivants, comme dans le spectacle qu’elle présente pour les fêtes au théâtre du Rond-Point. Sept personnages venus d’ailleurs débarquent dans notre monde… Par Pascal Caglar, professeur de lettres (Paris)

Sombres jours pour les profs

Une enquête de L’Autonome de solidarité laïque, publiée par Éric Debarbieux et Benjamin Moignard le 18 octobre, révèle que le climat scolaire s’est nettement dégradé en dix ans pour les personnels encadrants et enseignants. En pleine crise des recrutements, 51 % d’entre eux pensent à démissionner.

Par Pascal Caglar, professeur de lettres

Conférence de l’Unesco à Mexico :
la culture comme « bien public mondial »

Personne ne peut être privé de culture ou en être écarté, et le secteur marchand ne peut à lui seul répondre à la demande ni pourvoir aux besoins de chacun. C’est ce qu’ont déclaré les 160 pays réunis à Mexico lors de la conférence de l’Unesco, qui s’est achevée le 2 octobre avec l’adoption d’un texte majeur pour les objectifs durables des Nations unies.

Par Pascal Caglar, professeur de lettres

Pénurie d’enseignants :
puiser au vivier des grandes écoles

Plutôt que de recruter en urgence des vacataires qui n’ont pas ouvert un livre de grammaire ni vu un adolescent ou un enfant depuis des années, pourquoi ne pas se tourner vers les sortants des filières d’élite, prêts à une année de césure sociale et solidaire et encore tout frais émoulus du système scolaire ?

Par Pascal Caglar, professeur de lettres (académie de Paris)

La décadence de l’explication de texte

Structure fondamentale de l’enseignement de la littérature, cette épreuve devenue frustrante pour les enseignants et rebutante pour les élèves est le symptôme de la désaffection du français. La faute aux programmes qui imposent trop de textes et se détournent des réflexes d’analyse.

Pascal Caglar, professeur de lettres à Paris

Crise de l’attractivité :
le rapport un peu court de Gérard Longuet

Nouveau billet d’humeur sous forme de dialogue pour décrypter efficacement le rapport remis à la commission des finances du Sénat sur la crise des vocations aux concours de l’enseignement. Avec ce conseil : si les experts ne descendent plus sur le terrain, qu’ils fassent monter profs et syndicats dans les ministères.

Par Pascal Caglar, professeur de lettres à Paris