Pascal Caglar

Pascal Caglar

Job dating à Versailles, avenir royal du recrutement ?

13 000 professeurs recrutés dans l’académie de Versailles en quatre jours pour pourvoir les postes vacants à la rentrée, l’efficacité surprend mais la méthode interroge : n’est-ce pas un signal déplorable adressé à ceux qui sont en train de préparer le Capes ? Ou un dernier mépris à l’encontre d’un concours dévalorisé avant une véritable politique de ressources humaines ?

Par Pascal Caglar, professeur de lettres

Comme il vous plaira, de Shakespeare

Léna Bréban met en scène, à La Pépinière Théâtre, cette comédie pleine d’entrain et d’esprit autour de la forêt comme thème littéraire. Dans une adaptation de Pierre-Alain Leleu et sous un angle contemporain : les hôtes des bois tiennent des zadistes ou réfugiés climatiques fuyant une ville tyrannique.

Par Pascal Caglar, professeur de lettres

Le long chemin vers l’égalité dans le monde de la culture

Mauvais élève malgré son rôle majeur dans les représentations, le monde de la culture peine à progresser en matière d’égalité femmes-hommes rappelle Reine Prat dans son essai Exploser le plafond. Mais cette haute fonctionnaire agrégée de lettres met en évidence des pistes d’évolution : chartes, quotas, réformes de la formation artistique…

Par Pascal Caglar, professeur de lettres

Sorties scolaires au théâtre :
voyage en absurdie

Déconseillées sans être interdites, et complexifiées à la suite de protocoles contraignants, les sorties scolaires sont le plus souvent suspendues en dehors de Paris et des grandes villes. C’est un énième coup porté au spectacle vivant, déjà durement frappé par le Covid.

Par Pascal Caglar, professeur de lettres

Les Trois Mousquetaires débordent d’énergie

Le roman d’Alexandre Dumas est mis en scène au théâtre Le Ranelagh par un spécialiste des adaptations, Jean-Philippe Daguerre, assisté de Charlotte Matzneff. Avec des instruments pour tout décor, les comédiens flamboient pour incarner sur scène ces héros du roi et faire honneur au texte d’origine.

Par Pascal Caglar, professeur de lettres

Les Gros patinent bien, cabaret de carton : hilarant

Revenir aux sources du comique en partant de cartons comme dans le cinéma muet : c’est la ressource majeure de Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan dans la pièce qu’ils jouent au Théâtre du Rond-Point. Croisant mimes, langue inventée et intrigue rocambolesque, ils se livrent à un numéro de duettistes désopilant et trépidant.

Par Pascal Caglar, professeur de lettres